Le 30 novembre 2024: aujourd'hui marque le 36e anniversaire de la mort du Sheikh Abdul basit Abdul Samad, un récitateur égyptien du coran bien-aimé et éminent dont le nom a traversé les frontières et la renommée s'est répandue dans le monde entier.
Au cours de sa vie, et avant de mourir en 1988, Abdul basit Abdul samad a é(é surnommé à plusieurs reprises comme ( une voix de ciel), la voix de Mecque et ( la gorge d'or), il évident depuis qu'il était enfants qu'il était doté d'une voix spéciale, en plus de son dévouement à apprendre la lecture coran et à mémoriser le Saint coran à l'âge de 10 ans.
Né le 1 er janvier 1927 dans le village d'Al Maraza dans la ville de Armani, dans le gouvernorat de Qena en haute Egypte, Abdul Samad a rejoint le Kuttab de son village ( un type d'école primaire qui était principalement utilisé pour enseigner aux enfants le lecture, l'écriture et la grammaire et les études islamiques.
Il étudiait les lectures du saint coran entre le mains de l'érudit d'Al Azhar Sheikh Mohammed Salim Hamada, qui l'emmenait avec lui pour lire lors des soirées et de fêtes, il avait l'Habitude de le louer partout ou il allait jusqu'à ce que ça renommée se répande dans le village et le gouvernarot de hautes Egypte.
Déménagement au Caire, A l'âge de 27 ans, Abdul Samad a rejoint la station de radio du saint coran à la fin de 1951, pour commencer sa carrière coranique mondiale. Après la renommée que Sheikh Abdul Basit a acquise en quelques mois, il a du résider définitivement au Caire avec sa famille, qui a déménagé avec lui dans le quartier Sayyida Zeinab.
A cette époque, les Radios étaient un élément principal dans le foyer du Caire, ou les propriétaires se tournaient pour écouter chanteurs bien-aimés comme Umm Kultum et leur récitants préférés, au sommet desquels se trouvait Sheikh Abdul Basit. Il était normal à l'époque d'entendre l'écho de sa récitations dorée dans les rues, provenances radio de 20 à 20h 30 tous les jours.
Faire entendre sa voix à l'étrangers
La premières visite du Sheikh en dehors de l'Egypte après avoir rejoint la radio en 1952 a été au Royaume d'Arabie saoudite pour effectuer le pèlerinage de Hadjj avec son père. Les saoudiens lui ont demandé d'enregistrement pour le royaume enfin de le diffuser sur les ondes de radios.
En effet, Abdul Basit a enregistré plusieurs récitations, dont les plus célèbre ont été enregistrées dans la sainte de mosquée, et la mosquée du Prophète, après quoi il a été surnommé ( la voix de la Mecque).
Le shaikh Abdul Samad a également voyagé dans un certain nombre de pays islamique et arabe, ou des rois et des chef d'etat et de gouvernement lui ont adressé des invitations à se produire lors d'occasion spéciales ou à reciter pendant le mois sacré du Ramadan.
Parmi ces pays, il y a de la Syrie, ou il a recité dans la mosquée Omeyyade de Damas, et il a également récite le coran dans la mosquée Al Aqsa, il a également visité l'Afrique du sud, la Malaisie et d'autre Pays.
Honorer
Pendant près d'un demi siècle Abdul Basit a littéralement été le recitant du coran le plus célèbre et a gagné une vague massive d'amour de la part des gens du monde entier, qui l'ont considéré comme une légende dans la voix vivra pour toujours.
En 1956, le Cheikh Abdul Basit a été honoré en Syrie, puisqu'il a reçu l'ordre du mérite, ainsi que l'ordre de Cèdre au Liban, la Médaille d'or de la Malaisie, un ordre du Sénégal et autre Maroc. Les dernière des médailles qu'il a reçues l'a été des mains de l'ancien président Mohamed Hosni Moubarak lors de la célébration de Laylat al Qadr en 1987.
Maladie et décès
Le diabète s'est emparé du Sheikh Abdul BASIT, bien qu'il ait essayé de résister avec une extrême prudence et un engagement envers une alimentation saine. Mais il a contracté une hépatite et a été admis à l'hôpital, ou sa santé s'est détérioré.
On lui a conseillé de se faire soigner à l'étranger, il s'est dont rendu à Londres, ou il est resté une semaine accompagne de son fils Tariq, il est rentré chez lui et est décédé le 30 novembre 1988.
Des funérailles officielles ont eu lieu pour le Sheikh Abdul basit, ou des ambassadeurs de différente pays ont assisté aux funérailles ou nom de leurs peuples, rois, président de pays, en reconnaissance de son role dans le domaine du plaidoyer sous toutes ses formes.