SOMALIE: l’organisation parapluie Mogadiscio de Tuk-Tuk présente son nouveau Logo

L'Organisation Association des conducteurs de Mogadiscio Tuk-Tuk a dévoilé son nouveau symbole lors de son première congrès, dans le plus ancien quartier de Mogadiscio (Hamarwey), un nouveau moyen de transport à complètement changé le look et le son de la capitale.

Les véhicules  trois roues, connu localement sous le nom Bajjaj (Tuk-Tuk), se croient les un les autres alors qu'ils prennent de passagers d'un arrêt à l'autre. Il y a trois ans, le pousse pousse motorisées étaient presque inexistant dans la capitale somaliens, mais ils constituent aujourd'hui le moyen de transport préféré de la plupart des habitants, les Tuk tuk sont le moyen de transport le plus répondu à Mogadiscio.

L’émergence de tuk tuk est l'un des signe d'un essor économique dans ville en proie a la guerre civile depuis plus de deux décennies, la securité s'est améliore au cours de trois dernier années, entraînent un afflux de somalien de la diaspora qui son investi dans le capitale de leur pays d'origine, modifiant ainsi l'image de Mogadiscio en guerre.

Le gouvernement somalien ne connait pas nombre d'emploi crées, par l'introduction de Tuk tuk, dans les rues de Mogadiscio, mais des histoire comme celle des bénéficiaire permettent de se rendre compte de l'impact positif de cette initiative, le tuk tuk sont très bon marché comparés aux taxis, tu ne ne dépense que de 2 dollars par jour le transport selon les bénéficiaires le tuk tuk gagne par jour au moins 50 dollars par jour, plus de 50 000 Bajjaj ou Tuk Tuk circulent dans la capitale.

Les recettes fiscales estimées pour la municipalité de Mogadiscio s’élevaient à prés de 19 millions de dollars, car la municipalité imposent une taxe estimée de 15 dollars par mois au conducteur de tuk tuk, ce qui les obligeait à lutter contre les forces gouvernementales, notamment la police de la circulation et le dispute des impôts de la capitale, ou 19 conducteurs de tuk tuk ont été tuées par la force gouvernementales au cours de trois derniers années, ce qui signifiée que le risque encouru par le conducteur de Tuk tuk des forces gouvernementales augmente considérablement.