Apres des mois de rumeurs selon laquelle le premier ministre Ethiopien était en train de définir l'agenda de la mer rouge, cela est devenu clair le vendredi dernier lorsqu'il a réuni des responsables de son parti et du gouvernement et leur déclaré que l'accès à la mer était indispensable.
Il a declare à ses ministres que l'Ethiopie avait raison "l'historiques géographiques, ethniques et économique de récupérer l'accès à la mer rouge. Sa declaration a déclenchés de nombreuses conversations sur les reseaux sociaux de la part de militants Erythréen et Ethiopiens, bien que de nombreuses spéculations soient avancées, l'écrasante majorité a tendance à penser que le premier ministre présente l'agenda de la mer rouge comme une stratégies visant à détourner l'attention du public des multiples crises préjudiciables auxquelles son gouvernement est confronté.
Les Ethiopians dans les pays et à l'étranger ont exprimé de sévères critiques à l'égard de la declaration du premier ministre Ethiopiens. Certains l'ont qualifié d'irresponsable), le gouvernement Eritrean a répondu lundi à la situation avec seulement quelques lignes de declarations publiée par le ministre de l'information,
meme si le communiqué reconnait que la question a donné les conversations, il conseille aux organismes concernés de na pas se laisser provoquer. Le communiqué ne mentionne pas le premier ministre Abiy Ahmed ni ne fait reference à sa declaration.
La declaration du gouvernement érythréen se lit comme suit: le discours - réels et présumés - sur l'eau, l'accès à la mer rouge et les sujets connexes évoqués ces derniers temps sont nombreux et même excessifs. L'affaires a laissé perplexes tous les observateurs concernés.
En occurrence, le gouvernement Erythréen réaffirme à plusieurs reprises qu'il ne se laissera pas, comme jamais, entrainer dans de telles allées et plateformes,
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