Le gouvernement égyptien a annoncé mercredi qu'il avait approuvée des amendement juridiques renforcera les sanctions pour les mutilation génitales féminines. La nouvel amendement à l'article 242 a augmenté la peine minimale et la peine maximale pour les mutilations génitale féminines.
La peine d'emprisonnement minimale est passé de deux ans à cinq ans, entre temps, la peine de prison maximale est passé de sept ans à 20ans. Selon le nouvel amendement les professionnels de la santé ( c'est a dire les médecins et les infirmières ) qui pratiquent une mutilation génitale féminines peuvent en courir 10ans de prison, si la victime décède a la suite de l'intervention, les professionnels de la santé concerné peuvent faire face entre 15 et 20 ans, selon leur rôle et professionnel non médicaux, tels que les membres de la famille impliqués dans l'application de la procédure a une victime risquent désormais jusqu'à 10 ans de prison si la victime décède.
Toute autre personnes qui aurait encouragées ou soutenu d'une autre manière la mutilation génitales féminines peut également être emprisonnée même si aucune procède n'a lieu, la modification juridiques ont été proposées pour la première fois au debut de 2020 par le comités nationale pour l'élimination des mutilation génitales féminines, dirigé par le conseil nationale pour les femmes et le conseil pour l'enfance et la maternité.
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