La zone franche de Developpement industrielle de Djibouti Damerjog (DDID FTZ), reçoit un coup de pouce financier sous la forme d'un autre fonds accélération pour ses multiples projets de développement dans lesquels l'Ethiopie envisage également d'Investir.
L' entreprise lucrative dirigée par la Great Horn Investissement Holding (GHIH), de Djibouti et le nouveau fonds souverain de Djibouti a obtenu un financement de 120 millions de dollars de la part de l'organisme continentale de financement du commerce et des projets, la Banque africaine d'Import export (Afreximbank), pour des projets entrepris autour de la region de Damerjog, a la périphérie sud de la capitale Djibouti pour les projets liés au Port en vrac liquide de Damerjog (DLBP), qui fait partie du projet plus large de 4 milliards de dollars de DDID.
Comme l'a révélé la communiqué de la banque continentale basé au Caire, en Égypte, l'accord s'est concrétisé à la suite de la rencontre entre le président Afreximbank, Benedict Oramah et Ismail Omar Guelleh le président de Djibouti, au chef d'Etats du Sommet de l'Union Africaine de Nairobi.
L'accord, qui est le premier Afreximbank à Djibouti en collaboration avec GHIH et le gouvernement, vise à soutenir le développement d'une infrastructure propice au commerce pour aider Djibouti a realiser son plan pour devenir un centre regional de transbordements et de logistique.
Comme le précise le document, le financement fait partie d'un montant total de 155 millions de dollars pour le travaux sur la zone de libre-échange. Selon le communiqué, le solde, soit 35 millions de dollars est financé par la banque pour le commerce et l'Industrie Mer Rouge (BCIMR) de Djibouti.
Le produit de l'installation sera utilisé pour l'achèvement de la jetée pétrolière de Damerjog, qui fournira une connectivité maritime à la zone de libre échange, et pour la construction d'un projet de depot de stockage de 150 000 metres cubes ainsi que pour d'autres coûts liés au projets.
Le projet est présenté comme un agent de promotion du commerce intra africain, étant donné que l'économie de Djibouti repose un grand partie sur la fourniture de services maritimes aux pays voisins, l'Ethiopie et la Somalie, en leur offrant une porte d'entrée pour le fret maritime.
Comme l'indique le professeur Oramah, la creation d'une jetée et d'un port de vrac dans la zone de libre échange de Djibouti ajoutera une valeur significative au role de Djibouti en tant que plaque tournante de transbordements pour les pays voisins enclavés.
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