l'art rupestre caché de Djibouti offre une fenêtre sur le passé, de loin, les falaises noires semblent sans relief, brulés par un soleil de désert brulant, mais de prés, le basalte révèle des gravures des Girafes, d'autruches et d'Antilopes réalisés il y a 7000 ans.
Ces œuvres magistrale, gravés sur pierre dans le nord de Djibouti, sont parmi les exemples les plus importants d'art rupestre dans le corne d'Afrique une région riche en patrimoine archéologique et le berceau de l'humanité.
S'étendant sur trois kilomètre (presque deux milles), quelques 9000 panneaux à Abourma, dépeignent dans vu magnifique relief, la vie préhistorique dans ces région des Scènes dramatique de l'homme primitif affrontant la faunes et des vaches au volant.
Mais ces images veuille des plusieurs siècles, rendues par le silex sur la riche ignée, offrent également un précieux témoignages d'une époque révolue- et une terre radicalement remodelée par de millénaire de changement climatique.
La femme illustrée, se trouve encore aujourd'hui dans les plaines et les prairies d'Afrique, mais pas à Djibouti, un paysage désertique rude ou l'eau et la verdure se font rares depuis des milliers d'année, aujourd'hui, Abourma est une sorte de cimentière car nous n'avons plus ces animaux ici, a l'époque, ils erraient ici parce-que Djibouti était couvert de foret a déclare omar le guide, un jeune guide touriste qui emmène de foret a Abourma.
Abourma ont est un peu à l'écart de la civilisation, nous sommes dans le préhistoire, nous vivons dans le préhistoire, ce trésors se trouve à six heure de route de la capitale, la ville de Djibouti, puis a une autre heure à pied sur une étendue escarpée de rochers.
A suivre...
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